Question : qu’ont en commun les conduites de réunions, les tenues de conférences et les rendez-vous de séminaires ? S’il vous vient à l’esprit le café à volonté et les petits fours, vous n’aurez pas tout à fait tort, encore que…
Mais ce n’est pas à cela que je faisais allusion !
Non, en fait, toutes ces méthodes d’interactions ont la particularité de se positionner sur les échanges entre professionnels. Ceux-ci sont propices aux affaires, aux transactions et aux meilleures pratiques à mettre en œuvre. Cette méthode s’appelle faire du réseautage (d’affaires).
Seulement voilà, cette interactivité ne s’opère pas toujours de manière structurée – mais on n’en reparlera lors de prochaines publications…
Je vous parle du réseautage en connaissance de cause puisque c’est cette activité qui m’a permis de développer mon ‘business model’ lui-même basé sur la mise en relations.
Et non, ce n’était pas en France, et alors ?!…
Si je vous dis que la plupart de ces réunions ne devraient pas engendrer de coût, vous me ririez probablement au nez. Et pourtant, je voudrais mettre les choses au clair : le réseautage ne devrait pas être soumis à un droit d’entrée – je n’ai pas écrit « frais d’inscription ». Car si certaines organisations semblent me prouver l’inverse, je ferais remarquer que les droits d’adhésion imposés ne devraient pas non plus servir de commissions pour certains, mais plutôt au fonctionnement et frais des actions mises en œuvre pour le bénéfice de chacun.
Pourtant si je devais jouer sur les mots, je dirais que le réseautage est payant, dès lors que l’on considère cette activité comme un investissement personnel, donc il faudra y consacrer du temps et des efforts. Une manière simple, claire et éthique qui repose avant tout sur la bonne volonté des participants et dont la clé du succès s’appuie sur la réciprocité.
Et vous, que pensez-vous ? Quelle est votre relation avec ce type de fonctionnement ?
