
La liberté d’opinion, d’expression et d’information et la liberté de la presse constituent l’un des piliers essentiels d’une société démocratique. La liberté d’expression notamment est une liberté fondamentale qui impose un strict devoir de tolérance, laquelle est elle-même limitée par les incitations directes à la violence.
D’ailleurs, la France a ratifié tous les principaux instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l’homme dans lesquels la liberté d’opinion et d’expression est consacrée. La liberté d’expression est expressément reconnue à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme et aux articles 19 et 20 du Pacte international de 1966 relatif aux droits civils et politiques.
Pour nous qui sommes tous nés fin du 20ème siècle et début du 21ème, il nous semble qu’une société relativement libre est un état naturel de l’humanité. En réalité, c’est une idée fausse, car si vous regardez à n’importe quel endroit du globe, vous découvrirez dans la plupart des périodes de leur histoire, la tyrannie et la misère ont été au cœur des pays et leurs civilisations.
Une démocratie menacée de ses droits
Sous prétexte d’islamisme radical et de la pandémie de coronavirus, les attaques répétées du gouvernement français contre la liberté d’expression au cours des derniers mois sont devenues préoccupantes. L’opposition politique ayant été inexistante depuis de nombreux mois, des opposants à cette mascarade sanitaire, dont d’éminents noms de la médecine, n’ont eu cesse de s’élever contre cette propagande. Mais que ce soient via les chaines publiques ou privées, stations d’info et/ou les médias sociaux, rien n’y a fait : les attaques contre la liberté d’expression imputables aux gouvernements Macron, (mais aussi ceux des autres pays !), ont déferlé sur la population. Ceci associé au flux de mésinformation, ont eu un impact dévastateur sur la capacité des personnes à avoir accès en temps voulu à des informations exactes.
Dans un rapport, Amnesty International a mis en lumière :
- le rôle des entreprises qui gèrent les réseaux sociaux impliqués dans ces actions,
- les journalistes et de nombreux professionnel.le.s de santé qui eux, ont été réduits au silence et emprisonnés.
Il y est évoqué que les gouvernements invoquent de nouvelles lois pour bâillonner le journalisme indépendant et attaquer les personnes qui critiquent directement la réponse apportée par leur gouvernement à la pandémie de COVID-19 ou qui tentent simplement d’en savoir plus. La France, pays toujours prône à être un donneur de leçons aux autres états, ferait mieux de mettre un peu d’ordre dans ses affaires internes au vu du contexte négatif qui règne en ce moment. Son représentant, Rajat Khosla, directeur des recherches, du plaidoyer et de la politique ajoutait, je cite : « Les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années ! »
Une liberté d’expression (seulement) tolérée
La France a récemment fait la une des journaux du monde entier, mais pour des raisons inattendues de la part d’un pays aussi libéral. Sous la direction du président Emmanuel Macron, la France a récemment pris diverses mesures pour porter atteinte aux droits de l’homme, ce qui a progressivement terni l’image du pays en tant que porte-flambeau de la liberté et défenseur de la liberté d’expression. Désarmé face au nouveau désordre numérique, le gouvernement semble incapable de réguler efficacement la violence des réseaux sociaux, préférant plutôt renforcer un arsenal législatif répressif.
Parmi eux trois chicaneurs : Jean (Casse-tête) Doliprane, Olivier La Science et Bruno (notre) Rigolo. A eux trois, ils auront tenté de nous imposer l’idée qui consistait à nous faire croire que les restrictions liées à la crise sanitaire étaient justifiées. Or, nous avons pu apprécier à quel point tous les trois ont été hors sujet et que leurs mesures n’ont mené à rien, sinon de démontrer la fragilité des valeurs démocratiques de la France. Ces « premiers de classe » ont, une fois au pouvoir, bien semblé se moquer de la Constitution et ont préféré en bafouer son contenu. En atteste les articles 10 et 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :
- 10.Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
- 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Pierre-François Docquir, juriste senior chez ARTICLE 19 rappelait que, je cite : « Le blocage de sites Web est une forme sévère de censure. C’est comme utiliser un chalutier plutôt qu’une ligne de pêche – il capture du contenu légitime en même temps que du contenu qui peut être légitimement interdit. Il existe un risque inhérent de blocage excessif qui conduit donc à des restrictions inutiles et injustifiables de la liberté d’expression. »
Nous pouvons appréhender aisément que la proposition législative de lutte contre les contenus haineux sur Internet, surnommée loi Avia, ait tout son sens. En revanche, nous avons du mal à admettre les raisons des nombreuses censures que les réseaux sociaux ont pu imposer depuis maintenant deux ans. Mais en quoi vouloir exprimer notre incompréhension / désarroi concernant des décisions prises, face aux conséquences de celles-ci, et obtenir des informations à travers d’autres sources toutes aussi légitimes, soient devenus sujets à de la censure ?
*Rappelons qu’à cette date de publication, le produit injecté est toujours en phase expérimentale à l’échelle mondiale. Un détail dans l’histoire de la Santé publique, lequel pourrait s’apparenter par rétrospection pour les prochaines générations, au scandale du siècle !
Bâtir la peur sur un mensonge
Depuis mai 2020, les soi-disant ‘médiateurs’ des grands réseaux sociaux, n’ont cessé d’intervenir contre des personnes qualifiées de ‘complotistes’. Leurs objectifs, faire obstacle à des discours divergents aux communiqués des gouvernements successifs, lesquels n’ont cessé d’entretenir la psychose autour de la crise sanitaire. Et tout cela pour un flan vaccinal (aucune erreur de frappe commise de ma part !) qui n’avait pas lieu d’être. A preuve du contraire, tous les chiffres du taux de létalité n’ont jamais dépassé les 0.2% – actuellement 0.194% : 132 000 décès pour une population de 68 millions d’individus !
Dès le début, il y a eu une sorte de mise en scène de cette épidémie qui en est devenue indécente. Un véritable scandale durant lequel les chiffres de Santé Publique France ont été très largement manipulés et dont les critères ne répondaient à aucune cohérence. A l’évidence, le nombre de ‘Nouveaux cas confirmés’ ainsi que le ‘Taux d’incidence’ ne pouvaient qu’augmenter exponentiellement puisqu’une grande partie de la population rendue apeurée, allait se faire tester journellement alors qu’elle ne présentait aucun symptôme.
Jusqu’à présent au sein d’une démocratie digne de ce nom, ces actions n’avaient rien d’anticonstitutionnelle, et encore moins sujettes à de la diffamation. Alors n’est-ce pas affligeant que la présence des informations, autres que celles véhiculée par l’Etat soient qualifiées comme clivantes et considérées comme émanant de vulgaires complotistes – nouveau mot ‘tendance’ à la bouche de tous ces journalistes bien-pensants ?
N’avons-nous donc plus dans ce pays le droit de nous informer librement, faire un choix avisé sur notre propre santé, et de ne plus pouvoir décider de la façon dont nous souhaitons prendre soin de notre corps ? L’union européenne peut-elle justifiée des commandes de près de 2 milliards de doses de vaccins anti-Covid* pour une population totale de 447 millions d’individus ou plus de 4 inoculations par personne pour l’intégralité de la population européenne ? N’avons-nous pas le droit de demander la légitimité d’un tel nombre et à qui profite une telle commande ?