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Yes, I’m disruptive!

By 31 juillet 2019 mai 28th, 2020 No Comments

Si comme moi, vous êtes une personne qui en avait assez de la conformité attendue de notre société, lisez ceci…

 

De nombreux contenus de magazines professionnels  font souvent référence au mot « perturbateur ». Cette définition est souvent liée à un secteur d’activité économique où l’innovation a une place essentielle.

 

Ce mot peut s’approprier aussi à l’expression anglo-saxon  « lean principles », laquelle peut être décrite comme source de valeur ajoutée pour le consommateur tout en utilisant moins de ressources. Par exemple, une entreprise qui adopte les principes du lean tentera d’éliminer les déchets et d’accroître son efficacité opérationnelle, via des pratiques de fabrication durable sans gaspillage.

 

Donc nous avons bien compris qu’être «perturbateur» nécessite une grande idée.

Mon regret, c’est que toutes les démarches actuelles ont comme but l’enrichissement personnel : un objectif pour certains, une ambition pour d’autres. Personnellement, je n’y trouve pas mon compte ! D’ailleurs pourquoi vouloir tout monétiser ?

De mon point de vue, être fortuné ne garantit pas d’avoir la santé et comme ce statut est complètement indépendant de notre volonté, mais pourtant indispensable, je me dis qu’il y a peut-être autre chose à offrir à cette société de consommation à laquelle nous contribuons tous.

 

Etre perturbateur commence par ce retour à l’authenticité dont la société parle tant et dont tout le monde semble être à la recherche. Mais comment se l’approprier, lorsque les dirigeants mondiaux façonnent un monde économique dicté par des normes de plus en plus nombreuses et formatées ?

Je ne revendique pas devenir membre du prochain GAFA ; d’ailleurs la quinzaine d’entreprises qui se partagent de volumineuses bases d’utilisateurs capables de produire des chiffres d’affaires considérables ne m’impressionnent pas.

Elles ont toutes pu bénéficier d’un contexte économique favorable ou être révélatrices d’une tendance à un moment donné – tant mieux pour elles…

 

Non, ma solution est ailleurs : elle implique l’engagement d’une perspective nouvelle et d’un soutien sans faille où l’empathie et le partage dans l’appréciation d’un service donné ou reçu sont les éléments clés. Une démarche où toute la perception de nos sens est mise à l’épreuve, et pour laquelle un simple « Merci ! » fait le bonheur de l’autre.

Et quant à vous demander ce que sont mes réelles intentions la response est simple : « N’avez-vous donc jamais été bénévole ou consacré du temps à la société ? Moi je l’ai choisi via ce biais ! »

Les révolutions économiques n’ont pas bouleversé le monde du jour au lendemain. Mon émulation prendra peut-être du temps, mais je suis persuadé qu’éventuellement, elle sera suivie par d’autres…

Alors, vous sentez-vous aussi perturbés ? Et bien, suivez-moi !