Alors que la fin de l’année 2019 approche, j’ai décidé de prendre une pause de toute rédaction pour les quatre prochaines semaines. Les publications sur le réseautage reprendront naturellement leurs droits dès le début de l’année prochaine.
Si je peux difficilement être qualifié d’écrivain à temps plein, comme eux, il m’arrive de manquer cruellement d’inspiration. Je rencontre parfois des blocages mentaux sur des sujets légitimes pour lesquels j’aurais tant de choses à dire. Et pourtant rien ne sort car les idées ne sont pas en place. Cette semaine en est la meilleure preuve !…
L’auto-analyse dominante
Ce que j’ai rapidement assimilé, c’est que si mon état d’esprit n’est pas en phase avec l’écriture, mon texte reflètera ce manque d’inspiration. Par conséquent, le contenu manquera de faits inspirants qui sont censés entraîner le lecteur à s’évader dans le contexte du sujet concerné : le réseautage.
J’ai également remarqué que mon écriture se fait sans effort si je suis occupé à rencontrer des gens. Pour être plus précis, me rendre dans des lieux et participer à des événements sont des situations où l’inspiration vient naturellement.
Bizarrement, c’est aussi lors de ces moments que je peux m’appuyer sur certaines valeurs et refléter sur le vrai sens de la vie.
Albert Einstein a dit un jour, je cite : « Si vous voulez vivre une vie heureuse, attachez-la à un but, et non pas à des personnes ou des choses. » C’est donc cette recherche du sens qui doit être en vous pour que vous parveniez à ce qui compte dans votre vie. Ce qui pour certains fait que de se lever chaque matin, est la chose la plus excitante au monde.
Cela dit, la vie ne vous force pas à travailler dur, sans vous rappeler qu’il est aussi important de faire des pauses naturelles, ne serait-ce que pour vous restaurer et vous abreuver.
Je vous ai déjà perdu ? C’est normal, je viens tout juste de vous donner un aperçu de ce qu’est mon inspiration du moment…
Une ligne de trois principes
Justement, à l’heure où l’on nous explique que les Millénials (ou ceux nés depuis les années 90 jusqu’au début des années 2000 !) ont besoin de sens dans un environnement professionnel, la question est de savoir comment nous pouvons cultiver nous-mêmes une vie plus significative.
La réponse est généralement compliquée et peut dépendre de nombreux facteurs. Personnellement, je tente de suivre trois principes qui à mes yeux sont fondamentaux.
- 1/ Dépenser de l’argent pour les gens plus que pour les choses : privilégier les expériences avec mes amis et ma famille donne un sens plus profond à ma vie et la qualité de mes relations. Du coup, je suis certain de rendre une personne de mon entourage heureuse.
- 2/ Laisser un héritage le moins pénalisant possible aux prochaines générations : la façon dont je considère les ressources naturelles, aura même modestement, un impact sur l’environnement. Du coup, simplement respecter mon motto « Réduire, trier, réutiliser avant de recycler » est un soulagement pour ma conscience.
- 3/ Me simplifier la vie pour réduire le stress ambiant : toujours plus confronté à ce que la société essaie de nous dicter, j’essaie tant bien que mal à me simplifier les choses. Un des paramètres que j’inclue dans mon cycle de vie est la méditation, un excellent outil pour une meilleure connaissance de mes capacités.
Sacré Albert
Vous pourriez donc trouver le secret du bonheur dans le concept japonais d’Ikigai. Combinant les mots japonais iki, signifiant vie, et gai, signifiant valeur, Ikigai consiste essentiellement à trouver votre but dans la vie.
On prête cette phrase à Albert Einstein – et oui, toujours lui, je cite : « Ne réfléchissez pas à la raison pour laquelle vous posez des questions, n’arrêtez pas de poser des questions. Ne vous inquiétez pas de ce à quoi vous ne pouvez pas répondre, et n’essayez pas d’expliquer ce que vous ne pouvez pas savoir. »
Et pour vous alors, quel est votre Ikigai ?
